Confortablement assise dans le TGV, une très mélodieuse voix masculine captive mon attention. L’homme, la soixantaine, plutôt pas mal pour son âge, fait l’apologie, haut et fort, trop fort, trop dithyrambique de son instrument de poignet. Nuisances sonores x fadaises = ça m’agace direct !  “Elle est extraordinaire, intuitive, élégante… ! Je ne peux plus …