3 am, 01.01.2018, sur le dancefloor du 7, 43.55 / 7.0167 
SA BARBE SOYEUSE SUR MA C…

La barbe de ce garçon me fascine. Elle est belle, vraiment belle. Touffes complexes savamment ordonnées, allongées, ondulées à l’extrémité. Jamais barbe n’avait éveillé en moi quelque chose de si intense, d’aussi fou et surtout de dépourvu de nausée (pour excès de pilosité), degré zéro d’excitation sexuelle… fracture pileuse ! Transgression. Indécence. Je l’imagine (la barbe) délicatement posée sur ma chatte radicalement épilée au laser, design pompon (que je préfère au ticket de métro et aux sexes glabres), à la vulve lisse activiste du sans poil(s)… et en cet instant, nostalgique, elle se fantasme “L’Origine du Monde”, chef-d’œuvre que Gustave Courbet a peint en 1866. J’en frissonne encore.